CORPS 2
Peinture, Sculpture
Victor CANIATO
Françoise DONIS
Jacques DROUIN Gérard GASQUET
Bachir HADJI Delphine MOGARRA
CORPS 2 / du samedi 12 août au dimanche 15 octobre
Ouverture du jeudi au dimanche de14h à 19h En août : ouverture tous les jours de 14h à 19h sauf le lundi
sur rendez-vous (06 85 05 80 38 // 06 83 97 37 02)
O
Victor CANIATO
Françoise DONIS
Jacques DROUIN
Gérard GASQUET
Bachir HADJI
Delphine MOGARRA
CORPS 1 ... CORPS 2
Pour 2017, la Grande Galerie a fait le choix d’une seule thématique déclinée sur les 2 expositions de l’été /
« CORPS 1 ... CORPS 2 ».
Deux temps pour proposer une sélection de parti-pris forts et engagés.
Depuis les peintures rupestres, toutes les périodes de l’art se sont intéressées au corps pour en offrir une vision propre à leur temps. Aujourd’hui, les artistes choisis pour cette exposition ont tous précisément pour sujet la représentation du corps.
Corps humain et/ou corps animal pour incarner une réflexion sur le vivant et sur le mortel, sur l’éphémère et la fragilité de l’être...
Qu’il soit magnifié, fragmenté, souffrant, effacé... le corps est le révélateur de notre condition humaine.
Le corps est à l’œuvre dans ses représentations graphiques, picturales et sculpturales.
Le regard singulier de ces artistes nous amène à repenser notre rapport à soi, à l’autre, au monde et au temps.
C. Perrier et C. Célarier
CORPS 1 / du jeudi 18 mai au dimanche 16 juillet
CORPS 2 / du samedi 12 août au dimanche 15 octobre
Ouverture du jeudi au dimanche de14h à 19h
En juillet et août : ouverture tous les jours de 14h à 19h sauf le lundi
sur rendez-vous (06 85 05 80 38 // 06 83 97 37 02)
CORPS 1
Peinture, Sculpture, Photographie, Installation
Francis Olivier BRUNET
Delphine CARAZ
Christine CELARIER
Michel CHARPENTIER
Marjolaine LARRIVE
Patrick LOSTE
joel-peter witkin
avec la complicité de la galerie baudoin lebon - Paris
CORPS 2
Peinture, Sculpture , Photographie
Victor CANIATO
Françoise DONIS
Jacques DROUIN
Gérard GASQUET
Bachir HADJI
Delphine MOGARRA
pointe d'or
parcours de sculptures
(du 17/07 au 11/08 Pointe d'Or est ouvert uniquement sur RDV
06 85 05 80 38 -06 83 97 37 02)
CORPS 2 / du samedi 12 août au dimanche 15 octobre
Ouverture du jeudi au dimanche de14h à 19h En août : ouverture tous les jours de 14h à 19h sauf le lundi
sur rendez-vous (06 85 05 80 38 // 06 83 97 37 02)
exhibitions in 2017
CORPS 1 ... CORPS 2
For 2017, the Grande Galerie has chosen to have one sole theme, the Body (Human and Animal), which will be displayed through two different exhibitions.
« CORPS 1 ... CORPS 2 ».
Thus giving the opportunity to portray the body through the eyes of different artists to offer a selection of powerful art.
Through the history of art, ever since the cave paintings, it is clear that there has been a particular interest in the human and animal body. A different vision of the body is seen in each period of art. The artists who were chosen for this exposition all share the same passion: body representation.
The exhibitions will portray bodies in different lights; a reflection on the living and on the mortal, on the ephemeral and on the delicacy of our being…
Should it be glorified, split up or suffered… the body is the revelation of our human condition.
The body is at work in its graphic, pictorial and sculptural representations.
The unique perspective of these artists makes us rethink our relation to one another, to the world and to time. C. Perrier and C. Célarier
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CORPS 1
Francis Olivier
BRUNET Christine CELARIER Michel
CHARPENTIER
Delphine CARAZ Marjolaine LARRIVE Patrick LOSTE
Secrètes Savonnettes
joel-peter witkin
avec la complicité de la galerie
baudoin lebon - Paris
<< Nouvell e zCORPS 1 / du jeudi 18 mai au dimanche 16 juillet one de texte >>
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pointe d'or
du 18 Mai au 15 Octobre
ouvert uniquement sur RDV au 06 85 05 80 38 du 25 juillet au 12 août
Le parcours de sculpture est une balade qui prolonge vers l’extérieur, le plaisir de la découverte des lieux d’exposition. Il nous conduit vers la citerne de l’aqueduc qui, avec le temps, est devenu un jardin sauvage et luxuriant, investi tous les étés par les artistes du collectif. Cette année ils nous proposent une installation originale autour des chaises de jardin.
Le bassin, abandonné dans son enceinte de pierre depuis des décennies, est devenu le plus extraordinaire des jardins. Intitulé « POINTE D’OR, il nous ramène à l’origine des jardins clos de
la Perse antique.
Là, dans cet écrin végétal, rien n’a été semé, rien n’a été planté. Les artistes du collectif ont simplement tracé quelques chemins au détour desquels il est possible de découvrir, çà et là,
leurs œuvres subtilement intégrées.
Victor Caniato
pour le Collectif
Histoire d'eau (installation sonore) - Bertrand Merlier
Energie, mouvement, transparence, fluidité…
L’eau est aussi mémoire ; mémoire d’un lieu ou d’activités humaines.
O
CORPS 1
Francis Olivier
BRUNET Christine CELARIER Michel
CHARPENTIER
Delphine CARAZ Marjolaine LARRIVE Patrick LOSTE
Secrètes Savonnettes
joel-peter witkin
avec la complicité de la galerie
baudoin lebon - Paris
Francis-Olivier Brunet
Déshabiller la nuit
39,5x17,8 cm
Fragments lumineux
Comme surgi de l ‘obscurité le corps mis à nu s’offre sans retenue.
Sur le fond noir, un visage. (…)
Ce peut aussi être un corps. Ou des fragments de corps, un bras, un torse, une cuisse. Toujours sur un fond obscur, noir comme la suie, qui tranche avec l’éclat quelque peu surnaturel au cœur duquel se révèle une présence. Comme une apparition. Comme si l’artiste avait un bref instant embrasé la scène -le craquement d’une allumette, l’éclair d’un flash- avant de laisser la pénombre la recouvrir. La nuit finit par avoir raison de tout, semble-t-il suggérer, mais il nous montre à quel point l’éclair d’un regard peut la vaincre parfois, même pour un temps très court. Voici donc la condition humaine perçue par Francis-Olivier Brunet, voici notre destin pris dans les rets du faisceau lumineux.
« Dans ses peintures, les corps se révèlent comme des pulsions lointaines venues des commencements. Ces corps sont signifiés par une sûreté gestuelle, des couleurs réduites presque monochromes et des matières qui se superposent » écrit Véronique Philippe-Gache.
« Son univers est peuplé de créatures semblant venues d’une région mal définie qui serait limbes ou ténèbres, silhouettes à la fois précaires et fragiles, lourdes de tout le poids de leur humanité passée, envoyées par le peintre à notre rencontre, avançant péniblement, sujets en puissance ou en impuissance, aux membres dystrophiques ou frappés d’agénésie, aux gestes tremblés, amorcés… »
Et force est de reconnaître que cette œuvre creuse au fond de l’image même du corps pour y dénicher l’âme originelle, ses pulsions secrètes, ses angoisses irraisonnées, son insondable solitude. Le propos est en effet essentiellement monochrome, parfois surligné de taches de couleurs. Monochrome parce que décidé à saisir au plus près la vérité de l’enjeu qui se révèle à nous, à fleur de toile : la vie oscille entre ombre et clarté et ne peut s’affranchir ni de l’une ni de l’autre.
Ludovic Duhamel
Miroir de l’Art n°17
Miserere - 30 x 40 cm - 6 pièces murales
- techniques mixtes
Miserere
Ici des soleils acides explosent nos cœurs. Des lunes faméliques laminent nos esprits. La terre est devenue un ventre vide que l’acier occupe. Là bas peut être ? Crois-tu que
là-bas le ciel est ouvert ? Gardons au fond d’un sac un mouchoir et quelques coquillages. Un peu de sable dans la poche d’une chemise élimée. La mer emporte ou absorbe. Ses
entrailles salées expulsent le rugissement des chimères. La mer rejette sur des grèves glacées ses âmes désolées. Miserere…ayez pitié de nous !
Pour l'exposition « Corps 1 », Christine Célarier propose deux œuvres.
Une installation. « Une infinie tendresse » évoque l’animal et l’humain dans une relation équivoque entre le sommeil et la mort où « le temps retient son souffle » comme l’écrit Catherine Perrier dans un texte de présentation.
Une série. « Miserere » évoque l’homme confronté à la souffrance d’un exil obligé.
Dans l’une et l’autre, ce sont les corps qui nous parlent. Leurs représentations prennent le parti de la douceur avec calme, délicatesse et détermination.
Dans l’une et l’autre, la forme est poétique, allusive sans occulter la vive rudesse du réel.
christine-celarier.com
« En sculpture, ce qui est important c'est la cause, par exemple, si j'ai fait une série de chiens c'est que je me suis fait mordre par un cabot !
Mes cantatrices sont nées de mon amour pour la voix et de mon incapacité de chanter.
La sculpture c'est physique. Il y a un véritable effort, l'enjeu est formidable.
Il faut transformer le rêve à l'état solide.
Ce sont des fantasmes, des obsessions qui reviennent et que je capte.
Dans une sculpture vous pouvez exprimer des contradictions. Il peut y avoir de l'angoisse et de l'humour, une certaine sensualité et une certaine pudeur.
L'art c'est la façon dont on dit la chose.
Le grand Art est mystique !
Le guerrier de Capestrano est mystique.
La vénus de Cnide est mystique.
Lascaux c'est mystique.
L'œuvre terminée, subsiste le doute. »
Charpentier 2017
Delphine Caraz
1574x1773
Mise en forme
Je mets en jeux, des choses qui m'interrogent, qui m'échappent.
Chaque pièce rend compte d’une rencontre, d’une émotion, que je tente de rendre physiquement.
Je peux par exemple partir d'une forme en tissu que je remplis très densément des chutes de papier, de fils, de tissus nécessaires à son élaboration, de tout ce que je mets dans la corbeille de
l’atelier et également élaboration, de tout ce que je mets dans la corbeille de l’atelier et également de vêtements que je découpe. Je tasse le plus possible jusqu' à modeler la forme désirée. Le
tissu craque, je reprise. La densité, la dureté de l’intérieur rend fragile la peau extérieure.
J’aime cette tension qui apparaît.
Le temps d’exécution, long, participe à la construction de la sculpture, tout ce faire entre à l’intérieur d’elle, l’élaboration du projet est liée à sa fabrication. Il y a un jeu entre moi, mes
gestes, et la sculpture en formation.
Je travaille par couches, je ne veux pas tout dévoiler tout de suite. Je tente de jouer sur ce que l’on voit au premier regard, que l’on peut distinguer par transparence, et ce qui est caché,
l’intimité, le secret. Je peux également réaliser des broderies sur un fragment de taie d'oreiller avec de la laine d'Aubusson ou piquer un motif sur des cartes de papier, que je viens suivre ensuite
au point arrière...
Secrètes Savonnettes
Vétiver. Santal. Freesia.
Savonnettes et savons sont les témoins intimes d'une époque révolue où le pain de savon était un élément prépondérant du corps et du quotidien.
Résolument érotiques, ces bas-reliefs sculptés aux multiples nuances d'ivoire redonnent des lettres de noblesse à un objet à demi effacé : tentative de rétablir un équilibre en perdition - et sauver tout ce qui peut être sauvé.
Entre public et privé, une présence ténue s'incarne,
à fleur de peau.
Patrick Loste
Cavalier, toile libre ; 200x150cm.
C’est aux frontières que l’on trouve le plus souvent Patrick Loste. Entre la France et l’Espagne, bien- sûr. Entre la
représentation et l’abstraction, toujours. Dans une sorte d’écotone où se côtoient la plupart du temps végétaux, hommes et animaux. Echappant à la simplicité et à la rigidité des catégories, il donne
à voir le monde non pas comme il le conçoit mais tel qu’il le vit, le reçoit et le perçoit. Pour nous livrer cette perception, sa peinture n’a nul besoin de tricher car ce monde, c’est le sien : la
Serra del Cadí, des arbres, un paysage des Corbières, des cavaliers... Ce qu’il peint est d’autant plus vrai qu’il n’enlève ni n’ajoute rien à ce qu’il voit ; d’autant plus riche qu’il se garde bien
de choisir et embrasse la réalité dans tout ce qu’elle offre, dans toute sa complexité et s’il le faut avec ses contradictions. Patrick Loste vit et peint aux lisières, aux frontières en ce sens
qu’elles ne séparent pas mais rassem- blent, n’excluent pas mais comprennent ce qui les environne. Parce qu’il ne triche pas dans sa peinture comme dans sa vie, parce qu’il ne nous laisse d’autre
choix que celui de dépasser les frontières exclusives et les oppositions stériles, Patrick Loste nous aide à mieux comprendre tout ce qui nous entoure.
Romain Jalabert
Venus and Eros in the Purgatory , New Mexico, 1981 Copyright : Joel-Peter Witkin Courtesy : baudoin lebon
Paris, le 23 mars 2017
Joel-Peter Witkin: inutile de le présenter
Son oeuvre a été longtemps contreversée ; beaucoup moins aujourd'hui.
Comment classer son travail ? Difficile ; et pourquoi,d'ailleurs, le mettre dans une case ?
La philosophie de Joel-Peter Witkin :
- Les canons de la beauté ne sont pas uniquement ceux de la Renaissance,
- Son inspiration passe par la digestion de l'Histoire de l'Art ( essentiellement occidental ; Joel-Peter Witkin considérant que
les cultures africaines, asiatiques ou sud-américaines sont étrangères à la culture et à l'éducation qu'il a reçues),
- La mort fait partie de la vie, d'où l'intégration, dans ses compositions, de parties de corps, cadavres ou squelettes qui parfois sont photographiés en compagnie
des vivants.
Enfin, Joel-Peter Witkin est un grand mystique dont la spiritualité se dégage de plus en plus, au fur et à mesure de son avancement en âge. Son travail reflète de mieux en mieux sa sérénité
croissante.
On peut ajouter que c'est un visionnaire et un spectateur critique de notre société occidentale en décomposition.
L'ensemble choisi dans cette exposition reflète au mieux, je l'espère, les quelques lignes ci-dessus.
Baudoin Lebon
O
L'HOMME PERDU
A propos de « L’homme perdu » / le court métrage et le livre
Peut-on parler avec douceur et apaisement de sujets graves?
Peut-on évoquer la perte de soi et de l’autre sans tomber dans le pathos ?
Peut-on transformer un vécu en acte artistique?
Peut-on mêler délicatesse et crudité des sentiments ?
Peut-on révéler la dimension poétique d’un récit du quotidien ?
Peut-on vivre cette mutation artistique avec une joyeuse légèreté ?
Peut-on dire que cet « homme perdu » permet la rencontre avec les autres ?
À toutes ces questions, je réponds OUI et sans hésiter !
Christine Célarier
www.christine-celarier.com
Court métrage de L'HOMME PERDU à LA GRANDE GALERIE -
le samedi 15 juillet 2017. [20 h]
sur une idée originale de Patrice Giorda Réalisation / Gilles Framinet
Cinq saxophonistes, une accordéoniste et un joueur de musique électroacoustique à l’échantillonneur, talentueux et touches à tout, (presque) tous médaillés et diplômés des plus grands conservatoires de France (ou du Japon), au palmarès de concerts plus imposants les uns que les autres (France, Japon, Taïwan, Allemagne, Pologne, Angleterre, Tokyo, Sapporo, Paris, Lyon et Bourg-les-Valence) ont mis en commun leurs expériences les plus éclectiques afin de vous proposer ce voyage musical : la musique de l’inde et l’improvisation (JPB), la grande formation de jazz au répertoire baroque (SD), le monde la création contemporaine (JPB, SD, BM, LM, YSV), les musiques du monde et de la nuit (FS), la musique de chambre au jazz expérimental en passant par la musique celtique (DV), diverses formations symphoniques (YSV).
Les écrits de Murakami ne relèvent pas à proprement parlé de la science-fiction ou de la littérature fantastique, pourtant ils mettent en scène l’entrée de l’étrange, de l’insolite ou de l’irrationnel dans une vie sans relief. Dans 1Q84 (2009-2010), certains personnages ont glissé dans un monde parallèle au notre où brillent deux lunes.
Murakami est un passionné de musique et notamment de jazz, c’est pourquoi la musique est très souvent présente dans ses romans, où elle joue souvent le rôle de frontière entre le réel et l’étrange.
Les musiques de ce concert sont inspirées de musiques traditionnelles japonaises, mais surtout de l’univers étrange de Murakami. Elles s’enchaînent à la façon d’un grand voyage entre réalité et fiction, rendant le public captif d’un livre envoutant d’où il ne pourrait plus émerger…
MONTELIMAR NEWS MN : Comment intervenez-vous dans cette création?
BERTRAND MERLIER BM
: Je travaille depuis longtemps avec l’un des saxophonistes, Jean-Paul Bouvatier, qui a composé toute la seconde moitié du programme
(le Village Hors du Temps.) Il m’a demandé de participer à cette création, afin d’allier les timbres de la musique électroacoustique à ceux des saxophones et de l’accordéon, pour pouvoir composer des
ambiances un peu étranges, en correspondance avec Murakami.
C’est donc moi qui ai composé les parties électroacoustiques, à deux voix avec Jean-Paul.
Et bien sûr dans le concert, je joue de « l’échantillonneur ».
MN : C’est quoi un échantillonneur ?
BM : L’échantillonneur est un instrument électronique ou informatique. Il me permet enregistrer n’importe quel son, pour ensuite le mettre sur mon clavier et le
jouer : ainsi je peux par exemple jouer au clavier des morceaux de paroles, le bruit du vent, etc. et avoir une sorte de virtuosité avec le monde des bruits ou des sons inouïs. L’échantillonneur crée
du son, ce n’est pas forcement de la mélodie, mais de l’électroacoustique, c’est à dire « une musique de timbres ». Je peux les enregistrer à partir de mon échantillonneur, mais peux aussi en créer
qui n’existent pas.
Dans le premier morceau par exemple, comme on est dans la montagne, je crée des ambiances de vent, des oiseaux imaginaires.
L’électroacoustique permet de travailler avec la matière sonore, et ainsi de faire rêver, d’emmener le public dans la montagne, avec les oiseaux et le
vent.
MN : Ce concert n’est pas seulement musical?
BM : Effectivement : il y aura aussi des textes
et des images. Afin d’aider le public à entrer dans l’univers de Murakami, des extraits de textes seront lus en français, ou en japonais (car nous avons la chance d’avoir parmi les musiciens une
Japonaise), ce qui permettra d’entendre aussi la musique de la langue japonaise.
Par ailleurs, comme je travaille depuis longtemps avec l’image, j’ai choisi d’introduire, dans le morceau «Paysages aux deux lunes», des images du
photographe PEF. Ces projections d’images sont une transmutation de la réalité, donnant des paysages étranges, qui vont bien avec l’idée du paysage aux deux lunes.
Journées Européennes du Patrimoine 2017
La Fabrique / La Grande Galerie
du vendredi 15 au dimanche 17 septembre
10h à 12 h - 14h à 19 h